....

Chuda Mariko a écrit:

-Et si vous nous faisiez visiter votre demeure Kemmei, demanda Mariko avec une pointe de provocation. Je me demande à quoi peut ressembler l'intérieur d'un homme aussi charmant que vous."

Rei ressera sa prise sur le bras de mariko. Elle senti une douleur commençé à lui courir le long du bras.
Doucement, il sussura ces mots à la maho-tsukaï ([HRP]Suffisament fort pour que ceux qui veulent l'entendre le peuvent, mais c'est uen conversation privé ^^[HRP])
- L'humour de l'outremonde n'est pas encore prêt à être acceuilli à Rokugan, Mariko-san. Laissé donc Kemmei-sama en dehors de vos petit rituelle de sacrifice. Pas besoin de comtempler ses entrailles pour deviner votre futur si vous continuez vos allusions.
Puis il poursuivit en ces termes
- Vous êtes invités en ces lieu, sachez faire preuve de courtoisie envers tout les membres de Shiro Taishi. Attendont ce que va nous dire le maître moine. Mais ne vous inquietez pas, vos origines expliquent vos maniéres un peu frustre.

Kemmei se sentit frissonner. Les amabilités maladroites de Mariko aiguillaient son intérêt, mais il n'oubliait pas non plus qui elle était. Et ce qu'il avait entendu des paroles de Rei n'était pas beaucoup plus rassurant. Les serpents sont décidement aussi fascinants que dangeureux... se dit-il.

Je serais ravi de vous faire découvir ma modeste demeure, Mariko-san, mais elle n'est certes pas capable de recevoir une aussi nombreuse compagnie, surtout inopinément. Où voulez-vous vous rendre, Maitre Wawan?

Puis, se tournant vers Rei, et d'une voix cordiale :
Je ne crois pas avoir le plaisir de vous connaître, san. Je suis Kasuga Kemmei, ambassadeur de la Tortue. Puis-je savoir qui vous êtes et ce que vous faites dans notre belle cité?

Et ce que vous avez à voir avec Chuda Mariko?, pensa-t-il avec une pointe d'agaçement, mais sans oser le demander...

Daitsuke ne comprennait pas se qui peut pousser ses deux hommes à vouloir s’attirer la gentillesse de cette fe… femme.

Allons à l’auberge du Lotus réprimât le shugenja quelques peu agace par tout cette mise en scène même s’il gardait un visage paisible.

Décidement, Mariko n'arriverait pas à avoir de bonnes relations avec les rokugani. Ce Reï avait plus l'attitude d'un homme qui voulait enlever et séquestrer Mariko que celle d'un homme qui voulait la coucher. Ca ne dérangeait pas Mariko après tout. Elle était habitués aux manières rudes:

"Ne vous inquiétez pas cher Reï, dit-elle, vous avez pris possession de moi avec une telle force dans le bras qu'il me parait superflue de vouloir vous résister sans mes pouvoirs. Mais accordez une chance aux autres."

reï écarquilla des yeux. Comment cette femme pouvait-elle se permettre si peu de pudeur?

"Maintenant, dit Mariko avec un léger sourire, veuillez me lacher le bras. Vous ne vous seriez JAMAIS permis de me prendre le bras si j'avais été rokugani. Nous venons de nous rencontrer. Contentons-nous de partager une dégustation avec notre si noble assemblée."

" Daitsuke-san a raison, partons au Lotus, c'est une très bonne adresse. D'ailleurs, ils ont un choshû qui vaut le détour. Pour ceux qui veulent converser, ils en auront le temps en route. Allons !" lança le moine d'un voix de stentor.

L'assemblée, qui l'avait quelque peu oublié du fait de son attitude étrange et de la conversation de Mariko fût surprise, et certains même sursautèrent en entendant Wawan lancer cette phrase qui semblait impérative.



HRP : Désolé pour le temps de réponse, je suis en plein rush à la fac en ce moment, j'ai pas eu le temps et l'inspiration pour ça.

Kemmei a écrit:

Je serais ravi de vous faire découvir ma modeste demeure, Mariko-san, mais elle n'est certes pas capable de recevoir une aussi nombreuse compagnie, surtout inopinément. Où voulez-vous vous rendre, Maitre Wawan?

Puis, se tournant vers Rei, et d'une voix cordiale :
Je ne crois pas avoir le plaisir de vous connaître, san. Je suis Kasuga Kemmei, ambassadeur de la Tortue. Puis-je savoir qui vous êtes et ce que vous faites dans notre belle cité?

Et ce que vous avez à voir avec Chuda Mariko?, pensa-t-il avec une pointe d'agaçement, mais sans oser le demander...

Je suis Rei, scribe et archiviste de shiro taishi, je suis arrivé récemment dans vote belle ville et y ai trouvé du travail. J'ai travaillé avant cela au archives historiques du clan du phénix, j'y avais des élèves mais l'incompétence de l'un deux m'a valu la perte de mon emploi. Faute de l'éleve est faute du maître dit-on. L'ouvrage abimé n'était pas des plus importants mais je ne me le pardonne pas.

Chuda Mariko a écrit:

"Ne vous inquiétez pas cher Reï, dit-elle, vous avez pris possession de moi avec une telle force dans le bras qu'il me parait superflue de vouloir vous résister sans mes pouvoirs. Mais accordez une chance aux autres."

"Maintenant, dit Mariko avec un léger sourire, veuillez me lacher le bras. Vous ne vous seriez JAMAIS permis de me prendre le bras si j'avais été rokugani. Nous venons de nous rencontrer. Contentons-nous de partager une dégustation avec notre si noble assemblée."

Nikushimi a écrit:

HRP : il me semblait que Reï était un personnage féminin...

"Je ne me serais jamais permis de vous prendre le bras si il n'y avait pas eu la mort de 11 hommes récemment et une tentative d'assassinat sur un émissaire impérial peu de temps aprés votre arrivé. Je pense que cette émissaire, qui est au fait de tout ce qui se passe à la cour, pourra nous confirmer la prise de position de notre Empereur vis à vis des émissaire de Daigotsu, et il pourra également affirmer vote laisser passer. Je suis scribe, je sais qu'il est trés facile de falsifier un documents
* Rei se tourna vers les autres personnes en présence*
Je connais également d'autre chose, comme récuperer des informations d'un papier calciné. Certains peuvent trouver cela utile.
*Puis il reporta son regard vers Mariko*
Sachez que toute personne ayant grandi dans le clan du phénix n'ignore pas les 5 nuits de la honte durant lesquelles le clan du serpent aurait du disparaitre. Vous choissisez mal vos maîtres.
*Pendant un bref instant les yeux de Rei s'emblérent brûler d'un feu ardent, il lacha finalement le bras de Mariko, non s'en l'avoir écraser un peu plus au passage*

Bienvenue au Shiro Taishi, Rei-san, dit Kemmei d'une voix neutre. Il n'est pas étonnant que vous ayez trouvé aisément à mettre en oeuvre vos talent, les artisans de talent sont appréciés ici. Mais tout nouvel arrivant que vous soyez, n'oubliez pas que vous devez le respect à tous les habitants de cette cité. Si Miya Satori - dont je doute qu'on ait voulu le tuer - est sans doute bien informé, vous semblez ignorer que l'Empreur est toujours retiré en quête d'illumination...

Le courtisan poursuivit avec un sourire ironique. Et il me paraît assez étrange de soupçonner quelqu'un qui sort juste de prison - et qui ne se déplace jamais sans ses gardiens - de tentative de meurtre et de massacre qui viennent d'avoir lieu.

Je n'aime guère ceux qui jugent les gens d'après leurs origines... quand bien même ils tomberaient juste, pensa Kemmei. Surtout quand...

Maitre Wawan a raison, ne restons pas là, nous pourrons parler en route.

[proposition : tout le monde]
Et Wawan prit la tête du groupe, lequel se diriga vers l'auberge du Lotus, à la grande satisfaction de Daitsuke.
[/proposition]

Ca alors? Un rokugani qui ne juge pas suivant les origines? C'est rarissime en dehors du clan de la licorne. Il est bien ce Kemmei. Mais Mariko s'interrogeait encore sur une phrase de Reï:

"Vous avez mal choisi vos maître. C'est bien ça que vous avez dit Reï, demanda Mariko? Qui, à part Wawan qui a sans doute épousé volontairement la voie de la piété, a pu se choisir son maître? Vous autres servez l'Empereur qui qu'il soit. Vous n'avez pas la choix. Et bien, il en va de même pour moi. Je suis née et j'ai survécu. J'ai donc été qualifiée pour servir le seigneur noir.
En ce qui concerne les troubles de cette ville. J'ai de plus en plus l'impression que ses habitants se font une guerre larvée qui est en train de dégénérer. Je n'y suis pour rien. Et bien sur, je ne vois pas pourquoi j'esaierai d'arranger les choses. On m'a assez rappeler à quel point nous sommes ennemis.
Bon finalement, on va boire où?"

Quelle arrogance, pensa Kemmei. Mais étrangement, cela l'amusait.

L'auberge gérée par le Lotus. Vous verrez, les consommations y sont excellentes.

Je ne vois pas à quelle guerre larvée vous faites allusion, Mariko-san, poursuivit-il. Par contre, je partage votre avis : rares sont ceux qui choisissent leur maitre. Mais n'est-ce pas une conséquence normale de l'Ordre Céleste?

[HRP]Et ben, pourquoi il bouge plus ce sujet-ci?[/HRP]

Mariko eut un instant d'arrêt:

"Mais cher Kemmei, vous avez raison si on considère les normes rokugani. Alors ainsi, on pourrait me reprocher de servir Fu Leng à cause de l'ordre céleste? Il n'y a que les rokugani pour avoir la prétention de comprendre si bien l'Univers qu'ils savent s'octroyer le beau rôle. On me reproche mon maitre en utilisant une démonstrattion qui mets hors d'atteinte les rokugani de toute critique à ce sujet. Ne vous êtes vous jamais posé la question? Ne servez-vous pas le mauvais maître?"

Tout en se dirigeant vers l'auberge tenue par la secte du lotus, Mariko réfléchissait à la phrase de wawan. Il falliat reconnaître qu'il savait comment désamorcer un conflit par un aphorisme ou une pensée qui poussait les gens à s'interroger.

"Mon utilité pour mon maître réside dans le fait que je ne sais pas ce qu'il attends de moi, finit-elle par lacher."

" Si tu ne sais pas ce qu'attends ton maitre, alors, quelle est ton utilité ? Cela me rappelle une histoire à propos d'un puissant Kshatriya des Royaumes d'Ivoire. Il ne disait qu'un seul mot : Sanddabah, qui signifie : ceci. Lorsqu'il avait soif : sanddabah, et le serviteur lui versait de l'eau. Pour seller le cheval, sanddabah, et le serviteur mettait la selle en place. Qu se serait-il passé si le serviteur avait amené le cheval à table. Cela est la compréhension du maitre et du disciple. "

En attendant la réponse de Mariko, Wawan se demanda si sa répartie n'avait pas été un peu vive et s'il n'avait pas quelque peu choqué la jeune fille. Aussi affichait-il un sourire plein de bienveillance.

"Ah! Voila qui est pleins de sagesses Wawan. Mais là, tu nous parles d'un serviteur fidèle à son maître. Dans mon pays, les normes sont différentes. Un chef maintiendra ses serviteurs dans une certaine ignorance pour leur donner moins d'opportunités de vous trahir. C'est pourquoi je dis que mon utilité réside dan sle fait que je ne sais pas ce qu'il veut que je fasse. Mais. Je n'ai pas dit qu'il avait une logique compréhensible par le commun des mortels.
Mais je comprends ce que tu veux dire moine."

" HAHAHAHAHAHA ! Tu es bien sure de toi, Mariko-san. Mais c'est normal, tel est l'apanage de la jeunesse. Cependant, laisse moi te conter une autre histoire qu'on m'a rapporter aujourd'hui : un disciple de Shinsei attendait devant le temple, et au bout d'un temps, le Petit Maitre l'appela.
" Pourquoi n'entres tu pas ? " lui dit-il , et le disciple répondit " Je ne vois rien d'autre que le torii du temple, aussi, pourquoi entrerai-je ? ". Cela éclaire-t-il ta pensée, jeune Chuda ? " demanda le moine sans se défaire de son sourire.

Et Daitsuke poussa les portes de l'auberge

Nous y voilà ! enfin vous verrez l'hospitalité du Lotus

Alors là, Mariko n'avait pas compris la subtilité de l'histoire du moine. Il était évident que cette anecdote cachait une pensée mais elle était aussi trouble que les parôles du moine.

Mariko passa la tête dans l'auberge. Une odeur qu'elle ne connaissait pas lui vint aux sens. Qu'est-ce? Encore un met que Mariko ne connaissait pas? Elle déclara:

"Je voudrai boire des alcools dont je ne connais pas encore le gout!"

Mariko pris un air satisfait. Pour une fois qu'elle allait profiter de la vie.

Votre parabole signifiait-t-elle que les ordres dont la logique ne nous apparaît pas ne seront pas correctement executés, Wawan-sama?, demanda Kemmei.


Puis il sourit devant la curiosité de Mariko. Cette femme était étonnante...

"Cela peut se faire, Mariko-san, dit-il en lui offrant un siège. Quel genre d'alcools avez-vous l'habitude de consommer?"

Le courtisan regretta aussitôt sa question.

"Ben! A vrai dire, ce que j'ai gouté de plus proche de l'alcool devait être un extrait de fruit avarié. Je n'ai pas réussi à le digérer."

Mariko fit un sourire doux à Kemmei, presque fraternel. Elle avait vraiment envie de se détendre.

"Je suis d'accord. Qu'on me serve la même chose que le moine dont je n'ai pas tout compris."

Une heure plus tard, les concvives s'étaient installés à la même table. Un petit spectacle était donné, une femme jouait du biwa (hors roleplay, je fais avancé le sujet en improvisant, après tout, je connais pas cet établissement. si quelqu'un me dit que ma description ne correspond pas, je modifierai le sujet, Jinne m'a expliqué comment faire).

L'ambiance était bonne. On pouvais trouver bizarre que des rokaguni se lachent ainsi en publique, surtout en compagnie d'une maho-tsukaï. Et bien sur, ce n'était pas le sage Wawan qui allait tempérer les emmotions de chacun. Ce qui devait arrivé arriva, Mariko avait bu de l'alcool et elle avait aimé. Sa première réaction en buvant fut de croire à une tentative d'empoisonnement. Elle s'est cru rongée de l'intérieur penedant un moment avant d'en recomender un deuxième. Kemmei et Daitsuke étaient restés sages et n'avaient bu qu'une quantité modérée.

La conversation n'ayant pas abordé le houlmeux sujet de la politique, elle demeurait presque conviviale. Evidement, Mariko était soule, Wawan était seulement ennivré. Apparament, Mariko avait le "saké-hillar". Elle riait pour n'imposte quoi. Elle se lança dans une anecdote, sans rapport avec le sujet du moment qui se finit par:

"... Et là, je vois mon Gozark, avec sa bonne mine de gobelin obèse qui tente de se débattre dans les boyau du samouraï. On a rit on pouvait plus s'arréter "HIPS". Mince, j'ai le hoquet. Ah, dommage qu'il soit mort Gozark, il vous aurait plu. C'était ce genre de gobelin qui, ayant compris, qu'il ne serait jamais shaman, in le meilleur guerrier, décida qu'il deviendrait le plus malin. Et donc, "HIPS", il poussait les autres à s'entretuer par pure plaisir. Ah ça, il aurait pas fait tache dans la politique rokugani."

Mariko pose la tête sur la table et dit d'un air triste:

"Bah forcément, en poussant les guerriers de la tribu à se taper dessus, y avait plus personne de valable quand les nezumis sont arrivés et y sont morts... Nezumi... Saleté de vermines... veulent pas travailler avec nous... Nous aiment pas... RRRRRRhHHHHH "

C'en était trop pour l'organisme de Mariko. Elle venait de s'endormir sur la table sous les regards médusés de tous.